La trahison de tout un peuple

Un pays, une nation, c’est un peuple, un territoire et une civilisation, c’est-à-dire une histoire, une langue, une culture, un mode de vie. Un gouvernement démocratique, c’est une équipe désignée par le peuple pour servir le peuple.

Servir le peuple, c’est assurer sa sécurité, veiller à son enseignement, à son information, à sa culture, à sa santé, à son bien-être, à sa pérennité. C’est garantir le maintien des libertés individuelles, l’égalité des chances et de traitement, la pérennité de la cohésion sociale, la solidarité inter-générationnelle, c’est défendre le modèle civilisationnel, inculquer l’amour de son pays, c’est-à-dire, pour un peuple, l’estime de soi, ainsi que le goût de l’effort, du dépassement de soi.

Depuis quelques dizaines d’années, sous l’influence des théoriciens et activistes d’extrême gauche, des socialos-marxistes, sous la pression des pantins pseudo-écologistes, des droit-de-l’hommistes naïfs et à courte vue, avec l’assentiment et le soutien de la finance mondialisée, nos dirigeants ont trahi tout cela.

Au nom du progressisme, la nation est reniée, ses symboles méprisés, son histoire réécrite, ses frontières ouvertes à tous les vents, notre modèle civilisationnel est nié, la langue piétinée, le lien social déchiré, les valeurs humaines et familiales sapées, le peuple spolié pour financer des hordes migrantes qui méprisent les français… Ces deux dernières années, la mise en place insidieuse mais bien réelle de la discrimination « positive » porte encore un coup terrible à la nation et ne sera pas le dernier. La volonté de réduire la représentation nationale et de généraliser l’assistanat (et donc la totale soumission à l’état) à travers le revenu universel finira d’enterrer la démocratie, la citoyenneté et la liberté.

Il faut bien le constater : Pendant que les français pianotent sur leur smartphone, se nourrissent des mensonges des médias publics, des litanies empoisonnées des chaînes d’informations continues, font chauffer leur carte bancaire dans les boutiques ou sur l’Internet, se gavent de séries télévisées ou de téléréalités, grattent à tout va des tickets de jeux ou se chargent d’adrénaline dans les stades de foot, l’oligarchie dirigeante, ses politiciens, ses journaleux, ses banquiers et ses juges sapent, jour après jour, la nation France et trahissent le peuple français dans les grandes largeurs.

Aujourd’hui, le peuple français est en grand danger. La démocratie se dissout et la devise de la république : « Liberté – Égalité – Fraternité » n’est plus qu’un slogan vide de sens.

Les libertés individuelles s’étiolent un peu plus chaque jour.

– Seuls les défenseurs de la pensée unique, les moralisateurs biens-pensants, les défenseurs de l’orthodoxie officielle bénéficient encore d’une réelle liberté d’expression. Ainsi que les minorités agissantes, conquérantes, revendicatrices ou revanchardes. Tous les autres doivent se taire, ou s’expriment sous la menace permanente d’une contestation virulente et haineuse, d’une censure brutale, d’un harcèlement judiciaire, d’une sanction financière disproportionnée, voire d’une peine de prison.

– La liberté de manifester s’est considérablement réduite. Le mouvement des gilets jaunes l’a parfaitement montré. Il faut obtenir des autorisations administratives pour la date et le lieu de l’événement, ne pas être sur la liste noire de l’oligarchie régnante, ne pas vouloir défendre des idées qui n’ont plus droit de cité. Si vous n’êtes pas dans les clous, votre intégrité physique est menacée, vos droits de citoyen bafoués, votre avenir judiciaire assuré… Aujourd’hui, il vaut mieux être un casseur d’extrême gauche qu’un contestataire issu du petit peuple…

– La liberté financière n’existe plus. Les français vivent sous tutelle totale d’un fisc inquisiteur, omnipotent, et des banquiers. Ceux-là même qui, par leur pratiques extravagantes, ont ruiné l’économie mondiale ces dernières décennies, l’économie réelle bien entendu. Le fisc a tous les droits, même celui de puiser sur votre compte courant sans obtenir au préalable votre consentement. La législation actuelle autorise votre banquier à faire main-basse sur tout ou partie de vos économies pour sauver sa peau et son business… Une monstruosité !

Vous êtes toujours bien accueilli pour déposer des économies sur un compte, ou un livret, mais votre argent ne rapporte plus rien (en fait vos économies se déprécient en permanence), vous devez rémunérer chèrement le moindre service « offert » par la banque et lorsque vous voulez retirer des fonds, sauf à payer directement un bien ou un service, votre banquier vous fait des difficultés, vous impose des délais, des plafonds, des tracasseries administratives, vous taxe au passage… Votre argent ne vous appartient plus vraiment. La volonté conjointe du législateur et des financiers de réduire drastiquement l’usage du cash, avant de le supprimer complètement, à terme, va dans le même sens…

– La liberté d’être informé complètement et avec impartialité est bafouée au quotidien par les grands médias. Médias publics en tête. Les faits sont bien souvent présentés de manière biaisée, truffée d’omissions volontaires, marquée d’hypothèses ou de conclusions subversives, toujours dans l’esprit de la pensée dominante.

– La liberté de posséder est remise en cause. Les atteintes à la propriété privée ne sont plus que rarement sanctionnées, à moins d’affecter les plus riches. Nos maîtres rêvent de limiter la propriété immobilière à la caste dirigeante, par l’impôt et l’alourdissement des contraintes normatives et réglementaires. Ils rêvent de confisquer les héritages que les français souhaitent laisser à leurs enfants, sous prétexte de « redistribution »…

– La liberté de circuler s’amenuise. Après la vente au privé des autoroutes financée par le contribuable, la Macronie envisage de privatiser des routes nationales qui deviendraient payantes ! Sans parler des grandes villes qui vous interdisent de circuler si vous n’avez pas les moyens de changer votre vieux véhicule.

– La liberté de se défendre nous est retirée. Même dans sa propre maison, il faut attendre d’avoir un couteau planté dans le dos pour envisager l’autodéfense sans risquer une condamnation judiciaire…

– C’est tout juste si la liberté de penser existe encore. Dans votre environnement social, si vous ne montrez pas ostensiblement que vous pensez comme les « prêtres » de l’orthodoxie ambiante, vous êtes suspecté, regardé de travers, dénigré, mis à l’index, voire débarqué de vos fonctions…

Que dire de l’égalité ? Elle n’existe plus.

– C’est l’ascenseur social qui constituait le meilleur levier d’égalité. Il ne fonctionne plus. L’école publique qui forme les masses n’est plus qu’une machine à formater les esprits, à endoctriner et à former de futurs travailleurs-consommateurs-contribuables au service de l’oligarchie régnante. Nul besoin de développer le sens critique, de cultiver des gens à qui on dira ce qu’ils doivent penser, pour qui ils doivent voter.

– Devant l’administration ou la justice, l’égalité de traitement ne fait que régresser. Nous en avons la preuve régulièrement. Un rappeur noir a le droit d’exhorter à la haine et à la violence contre les blancs (5000 € avec sursis). Aucun blanc ne peut critiquer un non-blanc sans se voir immédiatement traité de raciste, traîné devant les tribunaux pour exhortation à la haine raciale et risquer jusqu’à 45 000 € d’amende. Un migrant illégal violent qui comparait devant la justice est rapidement remis en liberté alors qu’un défenseur de la nation qui agit pour aider les forces de l’ordre à appliquer la loi en matière d’entrée illégale sur le territoire est condamné à de la prison ferme… Un maire ou un préfet peut vous faire retirer un drapeau français pavoisant votre maison, mais laisse remplacer ce même drapeau par celui de l’Algérie, sur un édifice public, par des bandes de voyous vindicatifs et violents. La bigamie est sanctionnée par la loi mais visiblement tolérée pour certains migrants, etc. Les exemples ne se comptent plus.

– L’égalité de traitement n’existe plus non plus en matière de santé. Un retraité de plus de 60 ans qui à cotisé toute sa vie va devoir débourser des sommes très conséquentes en cotisations sociales et mutuelle pour être à peu près remboursé à 70%, avec des limitations sévères en dentaire ou optique. N’importe quel étranger qui arrive en France est pris en charge immédiatement et à 100%, sans limite. Si ce n’est pas une trahison !?

La fraternité est en phase finale d’évaporation.

– Dans la relation aux autres, notamment en milieu urbain, sur la voie publique, dans les transports, c’est l’égoïsme et l’individualisme forcené qui s’exprime. Quand ce n’est pas la violence quasi-gratuite, dans un pays ou l’immigration massive fait incontestablement régresser le niveau de civilisation.

– Alors qu’un français sur cinq n’est français que pour des raisons économique, un français de papier donc, qu’il méprise les français de souche, entend se venger de nous ou prendre le contrôle du pays, où pense-on trouver de la fraternité dans les années futures ? En particulier quand les migrants issus d’autres cultures, qui rejettent l’intégration ou l’assimilation, seront devenus majoritaire dans le pays, grâce au taux de natalité de leurs femmes, plus du double de celui des françaises de souche. Mais pour l’oligarchie régnante et ses financiers, un humain du peuple en vaut bien un autre, d’où qu’il vienne… Il sera dirigé, exploité et maté de la même manière. Le communautarisme ne gène en rien la caste au pouvoir. Elle vit à l’abri de ses méfaits.

Français, chers compatriotes, réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard ! Réinformez vous auprès des médias alternatifs. Le moment est venu d’entrer en résistance citoyenne. Il faut relire « 1984 » de G. Orwell. Regarder à nouveau le film « Elysium », ou « Soleil vert ». Tout cela préfigure assez bien le monde qui nous est promis, à plus ou moins long terme, par la Macronie et ses relais mondialistes.